Mythique et emblématique, le blond offre une palette de nuance qui va du plus cendré au plus doré et du plus clair au plus foncé. Chaque blond étant différent, pas question d’appliquer une recette toute faite pour lui apporter à la fois du contraste et de la légèreté. Jamais clinquant, il doit rayonner, tout simplement !
Envoutant et sexy, le roux doit jouer de la profondeur et multiplier les nuances et les contrastes, avec une base ton sur ton, des racines toujours un peu plus foncées et des pointes légèrement plus claires. Ultra sensible et très fragile, le roux exige du doigté et des soins sur mesure pour ne pas se dénaturer. Un cataplasme de plantes, appliqué dans la foulée de la couleur, permet de renforcer ses reflets et de les préserver.
Profond et lumineux, il est tout sauf banal, contrairement à sa (mauvaise) réputation. Chaud ou froid, selon ses nuances, pour être beau, il doit jouer la carte du naturel, sans donner l’impression d’avoir été coloré. Pour bien vieillir dans le temps, il faut toujours travailler avec une base froide, et ne jamais allonger la couleur sur les longueurs. Les pointes travaillées dans une tonalité de miel naturel vont réchauffer l’ensemble sans le dénaturer. Un bain de plantes associé au shampooing permet d’apporter un maximum de brillance au longueurs et de renforcer le côté « vintage » rechercé.
La coloration au 20 Boissière >>
Pour qu’une couleur soit belle, les cheveux doivent être en bonne santé.
Le bon réflexe : préserver leur cuticule et renforcer leur kératine avec des soins bien adaptés, à la fois protecteurs et réparateurs, mais aussi couper les pointes tous les deux mois environ.